A la Messe ou aux Vêpres
Mourir ensemble sans états d’âmes
Entrer en conflits terrestres
Tus, mais sans aller aux Diables
Tous ceux-ci virent au drame en liesse,
Tous ceux qui le vivent en larmes
Tous ceux-ci virèrent au drame en liesse.
C’est à la messe ou aux vêpres
L’heure est si grave dans ce dédale
C’est aux vêpres ou à la messe
Le récit grave dans la débâcle
C’est au Mur que tu me retrouveras
C’est à la messe ou aux vêpres
C’est à Lourdes ou à la Mecque
C’est au temple que tu me suivras.
Les premiers nés, remembrés
Réarticulent vide de Soi
Les derniers tués, d’affaires classées
Se lancent et se relancent
Se balancent dans l’indigence
Lancent les fers de lance de la foi
Artificiel démembrement
Paradis blême où pauvres hères
Mais où meurent tant de pauvres gens
Dénaturent l’âme forestière.
Dénaturent l’âme buissonnière
Dénaturent l’envie d’un autre temps.
Terrifiant mal des ardents
Un châtiment ressentiment
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