Christ
Envie de t’envoyer des maux
En l’air, de visiter ton corps, Christ !
Marcher debout sur ta façade
Dis meuble ! De boire dans ton calice, Christ !
Ta parabole, même si ton histoire
Cent paroles n’est pas si drôle, Christ
Au-delà de toutes tes brimades
Des barricades, histoire d’y croire, Christ !
De l’air vicié dans les chambrées, vois-y ton ombre, voici ton reflet
Tapi sous d’épaisses feuilles sombres, infini est son nombre
Il est légion, ils sont nombreux
Ils ont déjà tout entendu, Christ !
Sont-ils partis ? Peu les ont vus
Posent-ils perdus ? Ont-ils peur du Christ ?
Il les a souhaités plus profonds
Flottent-ils sur l’eau d’un puits ? C’est non, Christ !
Quel est leur nom ? Quel est ton nom ?
Quel est mon nom ? Quel est son nom ? Christ !
De l’air vicié dans les tranchées, vois-y ton ombre, voici ton reflet
Tapi sous d’épaisses feuilles sombres, infini est son nom !
Majeure tendue vers le Sphynx terminus
Spécial mineurs convoités, Christ !
Thé au septième, si blancs, si purs
Ciel, seul, voici l’époux tout dur si Christ !
Le pas raidi, vers leurs dix ans
Ferme la voie aux idoles et sang du Christ
Ouvrant un sillage aqueux
Quantique pillage, destin fiévreux, Christ
De l’air vicié dans les chambrées, vois-y ton ombre, voici ton reflet
Tapi sous d’épaisses feuilles sombres, infini est son nombre
De l’air vicié dans les tranchées, vois-y ton ombre, voici ton reflet
Tapi sous d’épaisses feuilles sombres Infini est son nom !
Christ ! Oh Christ ! Tu es si triste d’être Christ !
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