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Infini
L’oiseau s’envole précédant nos désirs
Glissant au fil coupant de ce froid sidéral
Emportant au-delà de la réalité
Le rêve colporté par des années-lumière
Le ciel s’obscurcit à la pâleur morose
Des pensées dérisoires faussées de noirs réflexes.
Et le point disparait au creux de la grand-toile
Ajouté aux millions de cristaux de la nuit
Et notre mort s’avance dans les draps du silence.
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