top of page
Jardin Botanique
Surtout jamais de parapluie noir
Ouvert sur la rue, sur la mort...
Qui m’a saisi et serré très fort
Refermant soudain le volet de l’espoir...
Qui claque dur et qui sommeille
Depuis un siècle sans réveil.
Jardin botanique, entrée publique
Quelquefois je ressens cette apesanteur.
Cela dure, dure encore
Et toujours sans arrêt
Sans halte et sans faille...
Rien d’autre que de la croix
Rien d’autre que de la voix
Rien d’autre que de la foi
Rien d’autre que de la voie.
Remplissement d’étouffement
Une joie étrangère
Déplacement, renfoncement
Pour un jour étrange.
Ce titre figure sur
bottom of page